Audierne
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Audierne - cimetière de bateaux
Audierne le soir
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Coucher de soleil sur des éoliennes
Coucher de soleil sur le Raz de Sein (vu de la Baie des Trépassée)
La pointe du van
Le Goyen
Lever de soleil à Poulgoazec
Rocher de penharm - Cleden Cap Sizun
jaborne IC
Eric Tabarly est un navigateur français, né le 24 juillet 1931 à Nantes - mort en mer le 13 juin 1998 à la suite d'un accident.
Officier marinier pilote de l'aéronautique navale, puis officier de marine jusqu’au grade de capitaine de corvette.
Il se passionne très tôt pour la course au large et remporte plusieurs courses océaniques notamment l'Ostar en 1964 et 1976, mettant fin à la domination anglaise dans cette spécialité.
Il forme toute une génération de coureurs océaniques et contribue par ses victoires au développement des activités nautiques en Bretagne et en France.
Bien qu'amateur de vieilles coques en bois, il joue également un rôle de pionnier dans le développement du multicoque en concevant son trimaran Pen Duick IV (1968), premier multicoque océanique de course, ouvrant la voie à la suprématie de ce type de bateau sur les monocoques.
Éric Tabarly découvre la voile à l'âge de trois ans à bord d'Annie, le bateau familial. En 1938, son père Guy Tabarly, achète le célèbre Pen Duick signifiant littéralement petite tête noire (pen = tête ; du = noir ; ick = diminutif, petit), c'est-à-dire mésange noire en breton, dessiné par William Fife (sous le nom de Yum en 1898).
Abandonné dans la vase, le bateau est sauvé plus tard par Éric qui moule la coque de bois pour en reconstituer une copie en résine, la coque en l'état ne pouvant être restaurée.
En 1952, il s'engage dans la Marine nationale. Il est pilote dans l'aéronautique navale et vole sur Stampe SV-4 pour ses débuts puis sur des Beech 18 et Avro Lancaster en patrouille maritime.
Il sert à Saint-Mandrier-sur-Mer, à Agadir (Maroc) et à la flottille 28F sur la BAN Tan-Son-Nhut (Indochine française).
Il effectue environ 1 000 heures de vol, en particulier au cours de la guerre d'Indochine. Il est admis en 1958 à l'École des Officiers de Marine (École navale) où il se distingue entre autres par ses capacités sportives.
Après sa sortie de l'École d'Application des enseignes de vaisseau à bord du croiseur-école Jeanne d'Arc, il est affecté en juin 1961 à Cherbourg sur le dragueur de mines Le Castor puis à Lorient et commande en 1963 un chaland de débarquement, l'EDIC 9092.
Souhaitant participer à la course transatlantique en solitaire (Ostar) de 1964, il est mis, sur sa demande, en détachement spécial par la Marine nationale, ce qui lui permet de naviguer librement tout en restant officier d'active.
Il conçoit spécialement son bateau avec l'aide des architectes Gilles et Marc Costantini ; c'est Pen Duick II, ketch de 13,60 mètres construit en contreplaqué marine pour un déplacement de 5,4 tonnes.
Il remporte la course en franchissant le premier la ligne d'arrivée à Newport le 18 juin 1964 à 10 h 45. À la suite de cet exploit qui fait redécouvrir la mer à la France, il est nommé chevalier de la Légion d'honneur par Charles de Gaulle.
Il remporte une deuxième fois cette course mythique en 1976, à bord de Pen Duick VI, un voilier pourtant conçu pour être manœuvré par une quinzaine d'équipiers, et malgré la rupture en début de course de son pilote automatique ainsi que des conditions météo très difficiles.
À la suite de ce doublé, et après avoir gagné devant Alain Colas et son Club Méditerranée, il descend triomphalement l'avenue des Champs-Élysées.
Cette même année, une émission des Dossiers de l'écran lui a été consacrée, au lendemain de sa seconde Ostar.
Toujours en 1976, un sondage réalisé par le quotidien sportif L'Équipe auprès de ses lecteurs le classe en tête des sportifs les plus populaires devant Eddy Merckx, Niki Lauda et Johan Cruijff.
Il meurt en mer d'Irlande, au large du pays de Galles, dans la nuit du 12 au 13 juin 1998, alors qu'il convoyait en équipage Pen Duick pour un rassemblement de voiliers construits sur plans Fife en Écosse.
l aurait été projeté en mer par le pic de la voile aurique du bateau au cours d'une manœuvre de réduction de voilure. Le 20 juillet 1998 son corps fut retrouvé aux environs de Waterford (Irlande) par des pêcheurs.
Éric Tabarly marqua plusieurs générations de navigateurs et de coureurs hauturiers. En effet, il a véritablement créé "une école française" de la course au large, en prenant à son bord et formant de nombreux équipiers qui s'illustreront par la suite, tels que Alain Colas, Olivier de Kersauson, Gérard Petipas, Éric Loizeau, Marc Pajot, Daniel Gilard, Titouan Lamazou, Philippe Poupon, Michel Desjoyeaux, Jean Le Cam.
Il marque également l'histoire de l'architecture maritime avec la construction et la mise au point de voiliers de compétitions novateurs, exploitant les dernières évolutions techniques, et conçus avec une interprétation très fine de la jauge et des conditions de mer qui seront au programme de ses voiliers :
Pen Duick II (1964) : ketch à déplacement léger (5,4 tonnes pour 13,60 mètres) manœuvrable par un homme seul ; construction en contreplaqué marine, coque à bouchains vifs par les chantiers Costantini à la Trinité sur Mer.
Pen Duick III (1966) : coque aluminium, étrave à guibre pour 17,45 mètres et un gréement de goélette ; ce bateau a fait l'objet, au fil des années, de plusieurs modifications dans son gréement (goélette puis ketch). C'est l'unité la plus titrée de la dynastie des Pen-Duick. Pen Duick III était un bateau très astucieux car, sous son gréement de goélette (deux mats de taille égale), il profitait d'un trou dans les règlements des courses-croisières dans lesquels la surface de voilure entre les deux mâts n'était pas totalement comptabilisée dans le calcul du handicap de chaque bateau.
Cet avantage était particulièrement sensible lorsque le bateau naviguait aux allures portantes. Cela lui a valu une grande part de son palmarès. Ce gréement avait été expérimenté sur Pen Duick II avant de décider de le retenir pour le III. Pen Duick III participe en 1977/1978 à la Whitbread (course autour du monde en équipage) sous le nom de Gauloise avec Éric Loizeau comme skipper. Il était, alors, gréé en ketch (le mât arrière plus court) car les règlements de handicap tenaient désormais compte de la totalité de la surface des voiles4.
Pen Duick IV (1968) : premier multicoque en aluminium de 20 mètres, gréé en ketch, équipé de deux mâts aile, et caractérisé par ses deux rails d'écoute en arc de cercle et ses flotteurs submersibles. Ce bâtiment fut vendu à Alain Colas, qui le modernisa et le rebaptisa Manureva.
Pen Duick V (1969) : sloop de 10,50 mètres caractérisé par sa ligne de carène et ses deux ballasts liquides lui permettant une pointe de vitesse et un équilibrage fin pour les allures portantes majoritaires dans la Transpacifique, course pour laquelle il a été spécifiquement conçu.
Pen Duick V a été dessiné par Michel Bigoin et Daniel Duvergie.
Michel Bigoin réalisa en 1975 les plans de Club Méditerranée pour Alain Colas sans en reprendre l'idée, mais on en retrouve l'esprit, quarante ans plus tard, dans la forme arrière des monocoques de course type IMOCA ou Class40 qui comportent un bouchain très marqué en angle vif.
Pen Duick VI (1973) : ketch de 22,25 mètres en aluminium, conçu par l'architecte André Mauric, déplaçant 32 tonnes et équipé d'un lest de quille en uranium appauvri, remplacé par la suite par un lest en plomb et caractérisé par une queue de malet sur le tableau arrière (petit bout dehors) pour amurer (accrocher) le pataras (hauban retenant le mat vers l'arrière). Surface de voilure au portant : 600 m2.
Pen Duick VI démâta plusieurs fois en course, mais gagna plusieurs records de traversée lors de ses différentes courses, démontrant de très bonnes qualités marines et de vitesse.
Pen Duick VII : trimaran foiler conçu par Éric Tabarly en 1975, accompagné par une équipe d'architectes maritimes et une équipe de la société Dassault. Éric Tabarly va rechercher un budget pendant quatre ans.
Plusieurs solutions : le baron Bich n'a pas plus d'un million de francs à investir dans ce projet, il en faut le double ; puis la brasserie Kronenbourg qui abandonne le projet ; ensuite une entreprise financière arabe ; mais c'est en 1979 que M. Baudinet, beau-fils de Paul Ricard, va faire se rencontrer Éric Tabarly et Paul Ricard ; les plans de Pen Duick VII vont lui être montrés ; Paul Ricard décide de devenir le sponsor du trimaran Paul Ricard.
Paul Ricard (1979) : trimaran de 16,50 mètres en aluminium déplaçant 7 tonnes.
Il est caractérisé par son bras de liaison unique et profilé qui s'appuie sur deux petits flotteurs, eux-mêmes étant équipés de plans porteurs. Ce navire préfigure la mise en application sur les voiliers du principe du plan porteur qui vise à faire déjauger le voilier puis à le sortir de l'eau pour ne plus le laisser en appui que sur ses plans porteurs.
Ce principe est aujourd'hui mis en œuvre sur L'Hydroptère d'Alain Thébault qui détient aujourd'hui le record du monde de vitesse à la voile.
Éric Tabarly fut le premier marin à battre en 1980 le record de traversée de l'Atlantique Nord détenu depuis 1905 par la goélette Atlantic de Charlie Barr, ouvrant ainsi la course aux records de traversées effectuées par les multicoques.
En 1984, Éric Tabarly épouse Jacqueline Chatrol ; ils ont eu une fille, Marie Tabarly, née le 22 août 1984.
Palmarès
Record de la traversée de l'Atlantique Nord à la voile d'Ouest en Est (New York-Cap Lizard), en multicoque (record de 1905 de Charlie Barr sur la goélette de cinquante hommes d'équipage Atlantic battu) :
en 1980 (10 jours 5 heures 14 minutes 20 secondes) (Paul Ricard)
en 1968, il avait été approché, avec les 10 jours 12 heures de Pen Duick IV.
Transat anglaise en solitaire (Portsmouth-Newport, ou encore Ostar) : 1964 (Pen Duick II) et 1976 (Pen Duick VI) (devant Alain Colas à sept heures)
Morgan Cup : 1967 (Pen Duick III)
Gotland Race : 1967 (Pen Duick III)
Channel Race : 1967 (Pen Duick III)
Fastnet : 1967 (Pen Duick III) et 1997 (Aquitaine Innovation)
Plymouth-La Rochelle : 1967 (Pen Duick III)
Sydney-Hobart : 1967 (Pen Duick III) (et 2e au temps compensé)
Transpac San Francisco-Tokyo (Transpacifique) : 1969 (Pen Duick V) (avec 11 jours d'avance sur le 2e)
Falmouth-Gibraltar : 1971 (Pen Duick III)
Los-Angeles-Tahiti : 1972 (Pen Duick III)
1er de l'étape de la Whibread "Le Cap-Sydney" : 1973 (Pen Duick VI)
Bermudes-Angleterre : 1974 (Pen Duick VI)
Triangle Atlantique : 1975 (Pen Duick VI)
Transat Jacques-Vabre (Le Havre-Carthagène) (avec Yves Parlier) : 1997 (Aquitaine Innovation)
2e de la Transat en double Lorient-les Bermudes-Lorient : 1979 (avec Marc Pajot) (Paul Ricard)
2e de la Transat en équipage Lorient-Saint-Pierre-et-Miquelon-Lorient : 1987 (Côte d'Or)
3e de la Transat anglaise : 1984 (Paul Ricard)
Distinctions
Chevalier de la Légion d'honneur en 1967 ; officier en 1976 ; il est promu commandeur de la Légion d'honneur à titre posthume le 21 juin 1998.
Prix Henri Deutsch de la Meurthe de l'Académie des sports en 1976, récompensant un fait sportif pouvant entraîner un progrès matériel, scientifique ou moral pour l’humanité.
Grand Prix de l'Académie des sports en 1964.
http://www.asso-eric-tabarly.org/?
1. framboise24 le 25-04-2012 à 08:50:27 (site)
bonjour ma douce
merci de nommer ce grand navigateur
gros bisous
Ingrédients pour une trentaine de sablés
Comment qu'on fait...
Les sablés se conservent une dizaine de jours dans une boîte métallique.
Le livre suggère aussi de faire des sandwiches au nutella en assemblant deux par deux les sablés avec une cuillère à café de pâte à tartiner à l'intérieur...
Bonne Appétouze!
Par : La Bretagne Vous Aime Et Vous? FB
1. christianus le 31-05-2012 à 15:16:10
hum,je vais en manger,j,en ai une boite,merci yoomie pour ce blog magnifique
1. christianus le 18-04-2012 à 14:31:18
merci de partager ces photos,ne t,arretes pas béa,c,est si beau
2. framboise24 le 23-04-2012 à 08:50:02 (site)
bonjour ma douce
c'est super de nous faire decouvrir la bretagne .
beau travail que tu fait
gros bisous
Dinan est une commune française, sous-préfecture située dans le département des Côtes-d'Armor et la région Bretagne.
C'est une ville du Poudouvre, en Haute-Bretagne.
La ville de Dinan est fortifiée par une ceinture de remparts et était défendue par un imposant château.
Point stratégique pour la circulation entre la Normandie et la côte nord de Bretagne, Dinan est construite principalement sur une colline.
La cité domine de 75 m la Rance qui coule vers le nord pour se jeter dans la Manche entre Saint-Malo et Dinard. Dinan proposa longtemps le pont le plus au nord pour traverser la Rance et son large estuaire.
La ville-basse de Dinan , sur les rives de la Rance.
De cet endroit nous apercevons au premier plan le nouveau pont, le viaduc qui relie Dinan à Lanvallay.
En dessous, le port de plaisance et la ville basse.
Le port de Dinan sur les rives de la Rance, fleuve côtier qui traverse la ville basse.
La ville basse!
En sortant de la rue du Petit Fort, l'ambiance change de façon surprenante. L'horizon s'élargit soudain, dominé par le cours de la Rance qui disparaît au loin sous un manteau de verdure.
Il suffit de passer le pont sur la Rance au niveau de la ville basse pour découvrir le viaduc et les premiers rempart de la ville haute.
La construction du viaduc en 1852, fût la fin de ce trafic millénaire, les maisons commençaient à tomber en ruines et rien ne laissait penser que cette rue fût le centre d'un énorme trafic.
Maison moyenâgeuse. Le numéro 66 possède un pignon sur rue en pans de bois, mais les deux murs gouttereaux sont en pierre, de même que la façade du rez-de-chaussée.
Cependant, aucune sculpture n'apparaît sur les poutres, preuve que le propriétaire n'était pas particulièrement aisé.
La porte du deuxième étage servait à hisser les marchandises, les matériaux, et les meubles volumineux qui ne passaient pas par l'escalier
Rue de l'horloge.
3. foudebassan22 le 19-04-2012 à 17:03:05
ton choix est excellent... Rien à dire! bises
Drapeau de la Cornouaille
Drapeau du Trégor
Drapeau du Pays Vannetais
Drapeau du Pays de Saint Brieuc
Drapeau du Pays de Saint Malo
Drapeau du pays de Dol
Drapeau du pays Rennais
Drapeau du pays Nantais
Le Pays de Léon (Bro Leon), a pour chef lieu Saint-Pol-de-Léon (Kastell-Pol) et a été fondé par Pol Aurélien (ou Pol de Léon), un des sept saints fondateurs de la Bretagne. Il aurait débarqué sur l'île d'Ouessant (à Porz Paul) vers l'an 517. Le roi franc Childebert Ier (511-588) le fit ordonner évêque et le plaça à la tête de l’évêché de Léon à Castel-Paol (Saint-Pol-de-Léon). Il se retira ensuite sur l'Ile de Batz.
La Cornouaille (Bro Gerne / Kerne), a pour chef-lieu Quimper (Kemper) et a été fondé par Corentin (Sant Kaourantin) qui est considéré comme le premier évêque de Quimper. D’origine armoricaine, il aurait été choisi par l'archevêque de Tours comme évêque de Cornouaille. Le roi Gradlon lui fit don de son palais de Quimper pour qu’il bâtisse sa cathédrale à cet emplacement. Saint Corentin de Quimper est l'un des sept saints fondateurs de Bretagne.
Le Trégor (Bro Dreger / Treger), a pour chef lieu Tréguier (Landreger) a été fondé par Tugdual religieux originaire du Pays de Galles qui aurait débarqué à Trébabu dans le Léon au Vème siècle avec 72 disciples pour évangéliser l'Armorique. Il fut évêque de Tréguier et comme l'un des sept saints fondateurs de la Bretagne.
Le Vannetais (Broereg / Bro Wened), a pour chef-lieu Vannes (Gwened) et a été fondé par Patern, qui fut le premier évêque de Vannes. Son père serait d'abord allé en Irlande où Patern, d'origine Armoricaine l'aurait rejoint avant de passer en Grande-Bretagne, d'y ouvrir deux monastères et de revenir à Vannes. Il participe au concile de Vannes en 465, où il fut nommé évêque. Saint Patern est l'un des sept saints fondateurs de la Bretagne.
Le Pays de Saint-Brieuc / Goëlo-Penthièvre (Bro Sant Brieg) a pour chef-lieu Saint-Brieuc (Sant Brieg) et a été fondé par Brieuc, moine breton originaire de Cardigan (Pays de Galles). Après avoir contribué à l’évangélisation de la Grande-Bretagne il débarque en Bretagne continentale avec 84 de ses disciples (vers l'an 565) et devient le premier évêque de Saint-Brieuc, ville de Bretagne continentale qui lui doit son nom.
Le Pays de Saint-Malo (Bro Sant Maloù) a pour chef-lieu Saint-Malo (Sant Maloù) et a été fondé par Malo (ou Maclou) qui serait originaire du Pays de Galles où il a été élevé dans un monastère. Après avoir décidé de s’exiler avec un groupe de disciples vers la Bretagne armoricaine il accède vers l'an 541 à la tête de l’évêché d’Alet ou Aleth (aujourd’hui Saint-Servan, commune aujourd'hui rattachée à Saint-Malo). Il est l'un des sept saints fondateurs de Bretagne
Le Pays de Dol (Bro Zol) a pour chef lieu Dol-de-Bretagne (Dol) et a été fondé par Samson qui serait originaire du Pays de Galles. Il est consacré évêque du Pays de Galles et décide de s’exiler en Armorique où il débarque à l’embouchure du Guioul avant de fonder le monastère de Dol. Il est l'un des sept saints fondateurs de Bretagne.
Le Pays rennais (Bro Roazhon) a pour chef-lieu Rennes (Roazhon) et Melaine, sans être le fondateur de l'évêché de Rennes, en est l'évêque à partir de 505 et est considéré comme son premier grand représentant, au moment où apparaissent les sept saints fondateurs de l'église bretonne
Le Pays nantais (Bro Naoned) a pour chef lieu Nantes (Naoned) et a été fondé par Saint Clair de Nantes venant de Rome, premier évêque de la ville vers la fin du IIIe siècle.
Le drapeau de la Bretagne actuel, le Gwenn ha Du a été dessiné en 1923 par Morvan Marchal, architecte et militant nationaliste breton. Il comporte 9 bandes horizontales alternées (5 noires et 4 blanches), avec au bord supérieur gauche un quartier d'hermines dit plain, c'est-à-dire sans nombre précis ;
Les 9 bandes rappellent les 9 pays historiques correspondant à peu près aux limites des anciens évêchés. En noir les pays de la Basse-Bretagne de l'ouest : Cornouaille, Léon, Trégor et Vannetais ; en blanc les pays de la Haute Bretagne de l'est : Nantais, Rennais, de Saint-Brieuc, de Saint-Malo et de Dol.
Avant la création des départements, lors de la Révolution française, la Bretagne était divisée administrativement au judiciaire en quatre présidiaux, au fiscal en neuf Provinces ou pays (correspondant aux diocèses) qui seront aussi le cadre des élections aux États.
Le drapeau Breton ou "Gwenn ha Du"
Ingrédients :
Préparation :
1. framboise24 le 11-04-2012 à 09:26:52 (site)
ca m'a l'air bien bon!!!
bonne journee ma douce
gros bisous
La goélette Tara est revenu à son port d'attache à Lorient le samedi 31 mars 2012 après 2 ans et demi d'absence.
Son départ avait été fêté à Lorient le 05 septembre 2009.
Tara au mouillage devant Port-Tudy (Ile de Groix)
Tara, originellement nommée Antarctica puis Seamaster, est une goélette destinée à la fois à l'exploration et à la défense de l'environnement.
Dans le cadre de l'Année polaire internationale, en 2007-2008, ce voilier est utilisé en Arctique par l'expédition Tara Arctic dans le but de faire des relevés permettant de mieux comprendre les changements climatiques qui s'opèrent en Arctique.
En 2009, dans le cadre de l'expédition Tara Oceans, Tara va parcourir les mers et les océans dans une circumnavigation de trois ans afin d'étudier le piégeage des molécules de gaz carbonique (CO2) par les micro-organismes marins comme le plancton.
Construite en France à l’initiative de Jean-Louis Étienne, médecin explorateur, en 1989 et dessinée par les architectes navals Luc Bouvet et Olivier Petit. Baptisée Antarctica, cette goélette a parcouru toutes les mers du globe jusqu’en 1996.
Jean-Louis Etienne
Puis elle fut reprise par Peter Blake sous le nom de Seamaster, pour en faire l’instrument principal de son programme de défense de l’environnement soutenu par le Programme des Nations unies pour l'environnement (PNUE).
Tragiquement, l’aventure s’arrête en 2001 sur le fleuve Amazone au Brésil à la suite du meurtre de Peter Blake par des pirates et le bateau fut alors laissé à quai pendant deux ans.
Peter Blake
En 2003, le directeur général d’agnès b., Étienne Bourgois, acquiert le bateau et le rebaptise Tara.
Il lance conjointement le projet Tara Expéditions pour faire prendre conscience de la fragilité de l’environnement. Depuis, Tara a réalisé de nombreuses expéditions dont l'expédition Tara Arctic.
L'expédition Tara Oceans
(2009-2012) :
Du 5 septembre 2009 à septembre 2012, Tara s'engage dans une nouvelle expédition et traversera les océans pour étudier le piégeage des molécules de gaz carbonique (CO2) par les micro-organismes marins comme le plancton.
La goélette prévoyait partir de Lorient et se diriger d'abord vers la Méditerranée.
Puis la mer Rouge, avant de longer les côtés jusqu'à l'Inde (arrivée prévue à Bombay en mars 2010).
De redescendre vers les Mascareignes et Madagascar.
Passer Le Cap (en septembre 2010).
Faire le tour de l'Amérique du Sud jusqu'à la pointe australe de la Terre de Feu avec un détour vers la péninsule Antarctique.
Atteindre l'île de Pâques (mars 2011)
Sillonner le Pacifique jusqu'à Auckland (septembre 2011) et l'Australie.
Remonter vers le Kamtchatka via l'Indonésie et Tokyo (mars 2012)
Retraverser le Pacifique en direction des États-Unis puis vers le détroit de Béring pour contourner le Canada par l'Arctique afin d'atteindre New York en septembre 2012 et revenir à Lorient.
La dernière année de l'expédition sera finalement grandement modifiée : l'expédition abandonne sa visite de l'Asie-Pacifique et de l'Arctique pour se rendre à New York plus tôt (février 2012) en passant par le canal de Panama.
L'équipage comprend 14 personnes dont 5 marins et 4 reporters qui seront relevés tous les 3 mois et en permanence 5 scientifiques relevés quant à eux environ toutes les 3 semaines, en liaison et en collaboration avec une équipe de 100 chercheurs restés à terre.
Parmi les équipements scientifiques, dont le montant est de 1,5 million d'euros, l'expédition embarque une rosette (océanographie), un cytométre en flux, un microscope 3D entre autres. Le coût de fonctionnement de l'expédition s'élève à 3 millions d'euros par an, entièrement financé par des fonds privés dont un tiers par Agnès Troublé.
Tara est le plus grand dériveur polaire du monde. Il a été conçu pour résister à la compression des glaces en mouvement et aux très basses températures.
Architectes : Bouvet – Petit
Chantier : SFCN
Pavillon : français
Port d’attache : Lorient
Longueur : 36 m
Largeur : 10 m
Tirant d'eau : 1,5 à 2,5 m
Poids : 130 tonnes
Matériau de la coque : aluminium
Mâts : deux de 27 m
Voilure : 400 m2
Propulsion à moteurs Diesel : 2 × 350 chevaux
Énergie : 2 × 22 kW, panneaux solaires et éoliennes
Autonomie : 5 000 milles
Moyen de communication : Iridium, Standard B et C, radio BLU
Matériel : 2 semi-rigides équipés de 40 et 30 chevaux, 4 temps
Réservoir de fioul : 45 m3
Unité de dessalement : 200 l⋅h-1
Réservoir d’eau : 6 000 litres
Réservoir d’eaux usées : 7 000 litres
Capacité de couchages : 17 personnes
Traitement des déchets : 1 broyeur et 1 compacteur
[Source Wikipédia]
Pour suivre l'aventure de Tara :
Accueil deTara à Lorient le 31 mars 2012 entre l'Ile de Groix et Lorient
Pen Duick III devant Tara
Pen Duick VI était présent également
L'arrière de Tara...
La poupe de Tara
Tara
La proue de Tara
3 générations de voiliers sont venus accueillir Tara.
Le vieux grément (voile rouge) est LE CORBEAU DES MERS. ce voilier fait l'objet d'un classement au titre des monuments historiques.
Le Corbeau des mers s'est rendu célèbre pour avoir répondu, ainsi que le Rouanez-ar-Péoc'h et le Maris Stella, à l'Appel du 18 Juin 1940 du général de Gaulle.
C'est ainsi que, le 26 juin 1940, Pierre Cuillandre et 27 sénans s'embarquent pour l'Angleterre. L'île de Sein recevra pour son attitude durant cette période la médaille de la libération (île de Sein, Compagnon de la Libération par décret du 1er janvier 1946).
Pen Duick VI sous spi
Tara amarré dans le port de plaisance de Lorient.
En arrière-plan le Thalassa (bateau-musée) qui malheureusement va partir à la casse... Trop cher à entretenir pour la ville de Lorient...
Maruru 2 "sous spi" à la poursuite de Tara entre Groix et Lorient.
Photos de Maruru56
1. framboise24 le 04-04-2012 à 08:35:50 (site)
bonjour ma douce
merci de nous faire vivre cette belle aventure
gros bisous
Le projet d’extraction de sable coquillier en baie de Lannion au profit de la CAN, actuellement en cours d’instruction, est dangereux pour l’environnement, fait l’objet d’un dossier incomplet et méprise l’avis des citoyens riverains
Dangereux pour l’environnement ..
Dangereux pour la faune ..
Dangereux pour la pêche ..
Dangereux pour le tourisme et le nautisme
La CAN (Compagnie Armoricaine de Navigation) a déposé un dossier pour exploiter un banc de sable et en extraire ainsi près de 400 000 mètres cubes par an.
Pour pallier l’arrêt de l’extraction du maërl en 2013, la CAN dont le siège est basé à Pontrieux, souhaite pouvoir exploiter un gisement de sable coquillier dit «Pointe d’Armor» pour une durée de 20 ans.
La concession espérée, d’une superficie de 4km², est localisée au large de l’embouchure du Léguer, à 7km du port de Trébeurden mais se trouve en fait dans les eaux finistériennes.
La société veut extraire dans cette zone au moyen d’une drague sablière équipée d’une élinde traînante (système d’aspiration) 365 jours sur 365 et de jour comme de nuit.
Et demande un volume d’extraction maximal de 400.000m³ par an. Elle envisage de débarquer les produits pour l’amendement agricole dans les ports de Roscoff (29), Tréguier, Saint-Brieuc, Saint-Malo et Pontrieux.
Entre deux zones Natura 2000
Le gisement se trouve, en effet, entre le site de la baie de Morlaix et celui des Sept-îles soit entre deux zones classées Natura 2000.
L’extraction de sable dans la baie de Lannion risque de perturber l’écosystème marin et la vie des oiseaux.
L’exploitation du sable coquillier est destinée à l’amendement agricole. Il sert à diminuer le taux d’acidité du sol.
Aujourd’hui, la compagnie armoricaine de navigation utilise le maërl, une algue fossilisée. Mais l’exploitation sera interdite en 2013 car l’algue est protégée.
En baie de Lannion, une immense dune sous-marine, située près de nos côtes, pourrait fournir du sable coquillier. Mais le projet prévoit d’extraire chaque année un volume équivalent à la Tour Montparnasse, l’équivalent de 2 pyramides de Khéops en 20 ans.
La dune sous-marine est habitée par des organismes vivant dont le lançon, un petit poisson qui sert de repas aux bars et aux oiseaux. Appât précieux pour les pêcheurs locaux, qui voit leurs emplois directement menacés.
Extraire le sable avec d’immenses aspirateurs va soulever un nuage de sédiments. Ce panache risque d’être transporté par les courants et de se reposer sur les zones rocheuses limitrophes et d’y stériliser la vie.
Il est dommage que les évaluations d’impact indépendantes sur des zones actuellement en exploitation ne soient pas disponibles ou pas communiquées (Par exemple La Horaine en baie de Saint Brieuc).
Les opposants avancent d’autres solutions pour amender les sols : utiliser ce coquillage qui envahit les fonds marins, la crépidule ou les déchets de coquilles d’huitres que l’on pourrait récupérer et concasser. « Trop cher », nous dit-on.
Le commissaire enquêteur en charge de l’enquête publique concernant le
projet de la CAN d’extraction de sable coquillier en baie de Lannion a émis
un avis favorable sous réserves.
Ces réserves portent notamment sur :
- une étude renforcée sur le milieu,
- une légère baisse des volumes sollicités
- des précautions par rapport aux deux zones Natura 2000 en mer très proches
80% (1 403) des observations reçues pendant l’enquête publique étaient
défavorables à ce projet.
La préfecture du Finistère attend d’autres avis, dont celui d’Ifremer qui
pèsera lourd.
1. pouty88 le 03-04-2012 à 06:58:00 (site)
bonjour
bravo pour la photo du jour,que c'est magnifique la Bretagne ,j'aime les paysage la cuisine de la Bretagne.
bonne journée
pouty
2. monnaiesanciennes le 03-04-2012 à 07:51:26 (site)
Bravo pour la photo du jour, bonne journée
amicalement
gege66
3. framboise 24 le 06-04-2012 à 09:11:44 (site)
bravo ma douce pour la photo du jour
et pour ton blog
gros bisous
bonne journee
Cléder (Kleder en breton) est une commune française située dans le département du Finistère et la région Bretagne.
Proche de Saint-Pol de Léon, Cléder se situe entre les communes de Plouescat, Sibiril, Tréflaouénan et Saint-Vougay. Sa superficie est de 3 744 hectares (soit 103,6 hab/km²).
La distance entre Cléder et Morlaix est 22 km (Morlaix se trouve au sud-est de Cléder).
Ptiot IC
1. framboise24 le 02-04-2012 à 08:40:41 (site)
bonjour ma douce
toujours aussi belle ta bretagne
bon debut de semaine
gros bisous
merci
2. fekere le 02-04-2012 à 13:52:22
whaaaaaaaaaaw je suis vraiment amoureuse de la Bretagne merci ma jolie
3. fekere le 02-04-2012 à 13:56:36
il faut peut être trouver un breton
4. christianus le 16-04-2012 à 14:54:03
superbe comme d,ab!tu es genial yoomie
1. framboise24 le 01-04-2012 à 09:03:08 (site)
bonjour ma douce
tres belle musique
tres beau travail que tu fait
gros bisous
passe un bon dimanche
2. fekere le 02-04-2012 à 14:17:08
trop bon les musiques encore plus
Après avoir frôlé l'extinction, la loutre d'Europe reconquiert tout doucement les rivières de Bretagne.
Longtemps chassée et piégée pour sa fourrure, victime aussi de la dégradation de ses milieux naturels, de la pollution, la loutre se réapproprie progressivement les zones humides de Bretagne au point que notre région est l'une des plus avancées aujourd'hui dans la conservation de ce mammifère.
Ce carnivore semi-aquatique figure sur la liste des espèces de mammifères protégées depuis 1981. Il y en aurait eu 50 000 en France au début du XXème siècle. Un millier seulement dans les années 80.
Il y aurait 2000 loutres d'Europe en France aujourd'hui.
Saint Yves est né le 13 octobre 1253 à Kermartin dans les Côtes d’Armor. Yves Hélory, avant qu’il ne soit saint, poursuit des études de théologie à Paris, avant d’entamer des études de droit à Orléans.
Appelé en Bretagne par l’évêque de Rennes, pour exercer ses talents de juriste et d’avocat, Saint Yves, qui deviendra le patron des professions et des marins, s’engage dans la hiérarchie catholique.... Il devient prêtre puis évêque à son tour en la cathédrale de Tréguier.
Saint Yves se retire de la vie publique, pour une retraite de prières, avant de décéder le 19 mai 1303, dans son manoir de Kermartin.
Le duc Jean V fait alors transporter son corps dans un magnifique tombeau au cœur de la cathédrale et demande que s’engage un procès en canonisation, devant les miracles que cette mise au tombeau produit.
Le procès engagé en 1330, se finira en 1347 sous le règne de Clément VI.
Son culte est vénéré en Bretagne, mais également à Rome, en Allemagne ou Pays-Bas.
Sa fête célébrée le 19 mai, est l’occasion de célébration en Bretagne dont Saint Yves est également le saint patron.
1. framboise24 le 20-04-2012 à 08:53:23 (site)
bonjour ma douce
merci de nous faire vivre de si belles aventures
gros bisous
La plage de Rospico en Névez s’appelle aussi plage de Tahiti. Pourquoi ?
Voici mon explication.
Cette plage doit sans doute son nom au peintre Gauguin qui séjourna dans les environs et ses inspirations tahitiennes.
Une longue étendue de sable, une mer à la "température bretonne", des chemins de randonnée le long de la côte et la proximité font de cet endroit un lieu agréable, en toute saison, et curieusement, pas si fréquenté que cela ».
David T
1. monnaiesanciennes le 28-03-2012 à 07:28:59 (site)
Bravo pour la photo du jour, bonne journée
amicalement
gege66
2. jakin le 28-03-2012 à 07:31:07 (site)
Compliments pour la photo du jour et bonne continuation.....
Jakin,
3. pouty88 le 28-03-2012 à 08:07:34 (site)
bonjour
et bravo pour la photo du jour...
bonne journée
pouty
4. christineb le 28-03-2012 à 22:06:51
Jolie photo, bravo! Le beau temps fait rêver en bord de mer, la sècheresse un peu moins...
5. fekere le 30-03-2012 à 13:49:19
magnifique juste magnifique continue ma belle
6. framboise24 le 07-04-2012 à 08:46:13 (site)
coucou ma douce
toujours aussi super le travail que tu fait
continue
bonne journee
gros bisous
Commentaires
1. framboise24 le 27-04-2012 à 08:53:15 (site)
bonjour ma douce
super belles les photos
gros bisous
2. jaborne le 27-04-2012 à 19:12:31
Ca me ramene qq Années en arriere .. je suis ici.. un peu chez moi maintenant
Super BLOG !!
Degemer mat ar cap
jaborne